J’étais l’un de ses gymnasiens il y a plus de soixante ans… Je n’étais guère brillant, et il me tenait je crois en assez piètre estime. Mais il m’impressionnait, et son enseignement reste pour moi très présent et très suggestif, même si je ne l’ai pas compris à sa juste valeur. La lecture de ses ouvrages, au fil des ans, m’a permis de mieux rencontrer le pédagogue attentif et l’homme de lettres éminent qu’il était. Son départ me touche, et j’adresse une pensée de sympathie à sa famille.
Von François Besson