André, c'était qq part au beau début des années septante. Tu t'apprêtais et pour la 1ère fois, à sauter en parachute. Assis les jambes dans le vide, tu avais une trouille terrible. Tu partageais, en direct à la radio, tes émotions. Les chers auditeurs étaient aussi terrifiés que toi.
Ça a été un "direct" bourré d'émotions.
Et puis, tous ces souvenirs de montagne...
Là où tu vagabondes maintenant, garde nous une bonne place aux côtés de ton sourire.
Enfin, à Julia, Jacqueline, tes proches et à tous tes chers frangins, notre très chaleureuse amitié.
Anne et Michel, Aïre
Von Michel Minder