Chère Anne, notre amitié s'est nouée au fil du temps depuis notre première rencontre à Bobigny puis Carouge, Genève, au téléphone, par mail... Merci pour vos encouragements, la richesse de nos échanges. Jusqu'au bout, vous n'avez rien lâché revendiquant votre part de "vieille protestante" qui s'exprimait dans l'affirmation franche de vos positionnements. Vous me manquez depuis quelques mois déjà , désormais je sais que vous allez me manquer longtemps mais je garde la trace de nos échanges et de votre sourire profondément bienveillant. Je pense à vous, sa famille que je ne connais pas mais qui je sais l'a accompagnée jusqu'au bout. Aujourd'hui, las que mes mails ne reçoivent plus de réponses, je l'ai recherché sur le net, je l'ai "retrouvée" mais j'en suis profondément peinée. Amélie