J'ai eu la chance de le connaître au travers du rugby dont Bernard fut mon élève, un homme exceptionnel, un camarade de sport fantastique et toujours avec son humilité. Il restera gravé dans ma carrière d'entraîneur. Toutes mes sincères condoléances et un souvenir indéfectible.

Cher "Kouki", j'me souviens de nos jeux, à la Colombière, dans ton beau jardin, avec Katherine, William et nos goûters d'anni à Mafroi 10. Je suis triste. Georges Steinvorth

Mon âme est triste et mon cœur douloureux. Je m'associe pleinement à votre chagrin et suis prêt à vous revoir dès que vous le souhaiterez.