Chère Madame, Je viens de regarder « hommages.ch » et je vois un Monsieur Zufferey. Je regarde et me rends compte que c’est votre mari qui est parti. J’en suis bien triste pour vous. Recevez avec ces quelques mots, mes plus sincères condoléances. Pour un peu de réconfort sachez que maintenant il est bienheureux, qu’il ne souffre plus et qu’il n’a plus d’angoisses. Vous l’avez bien chouchouté toutes ces denières années de maladie. Je comprends pourquoi je ne vous voyais plus ces derniers jours promener Mégane. Je me retournais de temps en temps pour voir si vous arriviez, mais bien sur vous aviez plein d’autres choses à assumer. Maintenant prenez soin de vous Chère Madame, reposez vous et profitez de tous vos petits-enfants. Bien en pensées et à bientot en promenade. Très amicalement. F. Pernet.