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Cécile Jost-Seydoux
Kondolenz 1🕯️
Tribune de Genève
28 Februar 2020
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    Parcours de vie de Cécile Jost-Seydoux (1942-2020), décédée le 20 février 2020. Cécile a vivement souhaité de son vivant une oraison funèbre par un Frère Capucins. Cécile est née le mercredi 9 décembre 1942, en soirée, dans une petite ferme au lieu dit Les Biolleyres à Treyvaux. Sa sœur aînée Rose Marie, alors âgée de 8 ans s’en souvient comme si c’était hier. Sa Maman Ida Seydoux-Guillet (1911- †1980) vient d’accoucher de son cinquième enfant, quelle prénomma Cécile. Sa sœur ainée Rosemarie avait huit ans, Josette avait sept ans, Maxime avait six ans et Colette avait quatre ans. Son papa âgé de 33 ans travaillait d’une part comme ouvrier agricole sur leur petit domaine et d’autre part, il était ouvrier à l’usine Papaux de Treyvaux, en réalisant des travaux de forge pour des pièces métalliques nécessaires à la fabrication de volets. Après cinq de vie à la campagne, il a fallu rejoindre une zone permettant de mieux vivre. C’est ainsi qu’en 1947, toute la famille émigra à Vandœuvres dans le canton de Genève. Cécile débuta sa scolarité primaire dans la commune de Vandœuvres. Puis poursuivi sa formation secondaire à l’école Necker. A 17 ans, elle suit une formation à la direction des téléphones PTT, comme opératrice dans le secteur national et international. Diplôme en poche, elle travaille toujours comme opératrice dans les secteurs bancaires et publicitaires. Au début de l’année 1965, elle fit connaissance de son futur époux, qui venait dépanner les postes téléphoniques de ses employeurs. Après trois ans de fréquentation, le mariage religieux a eu lieu le 10 août 1968 dans une petite chapelle Sainte Marie du peuple, qui a été reconstruite dans le quartier de Châtelaine. Premier domicile dans le quartier des Eaux-vives. En 1971, elle se consacra entièrement à sa famille. Puis naissance de Catherine le vendredi-saint de 1972. Puis celui d’Edgard en mai 1975. En 1977, déménagement dans le quartier de la Servette. En 1980, premiers ennuis de santé de Cécile, crises de tachycardie et perte progressive de sa vue, dégénérescence maculaire. Pour la soulager, sa sœur Colette s’offrit spontanément pour une prise en charge de son fils Edgard pour de nombreux mois. Son papa décéda en 1997 et son frère Maxime en 1998. C’est en 2006, à 64 ans, quelle a de sérieux problèmes de santé, jambes sans repos et début de la maladie de Parkinson. En octobre 2019, le calvaire commença après une fracture du col du fémur. De longues hospitalisations qui se terminèrent en février de cette année, par des soins médicaux palliatifs à l’hôpital HUG de Bellerive. Elle fut une épouse et une maman remarquable. Paix à son âme.

    Von Frédéric Jost