Cher Camille,
Chère Marie,
Cher Aurel,
C’est avec une profonde tristesse et une émotion immense que nous avons appris le décès de votre cher Papa, Dominique.
Puisse Dieu, dans son amour infini, accueille à ses côtés votre Papa et qu’il vous accompagne et veille sur vous durant le long chemin de la vie.
Je souhaite partager avec vous un passage que j’apprécie particulièrement et qui permet, à mon sens, de mieux accepter la mort.
« La mort n’est rien…Je suis simplement passé dans la pièce d’à côté. Je suis moi, vous êtes vous…Ce que j’étais pour vous, je le suis toujours. Donnez moi le nom que vous m’avez toujours donné, parlez de moi comme vous l’avez toujours fait. N’employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez à moi. Que mon nom soit prononcé comme il l’a toujours été, sans emphase d’aucune sorte, sans une trace d’ombre. La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été…Le fil n’est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de vos vies. Je ne suis pas loin…Juste de l’autre côté du chemin. Vous voyez, tout va bien.
Dans ces instants douloureux, nos prières et nos pensées vous sont adressées.
Que Dieu vous garde et vous protège
Von David Rappard