Cher Philippe, c'est avec beaucoup de tristesse que malheureusement je viens d'apprendre le décès de ma cousine (je suis la cousine a Alain) et d'une femme extraordinaire que j'ai connu quand moi même avais 14 ans. Que de beaux souvenirs me reviennent à la mémoire que je ne pourrais jamais oublier. Je sais que tout les mots et paroles de la terre ne pourront jamais te consoler car moi j'ai perdu mon mari Antonio le 10 juin 2008 après 6 mois dans de terribles souffrances de cette saloperie de maladie....alors je sais ce que tu peux ressentir, il y a d'abord la rage et la haine envers tout le monde et surtout les médecins et après il y a l'incompréhension, jusqu’a que tu réalises que tout ceci est vrai il te faudra beaucoup de courage car moi aujourd'hui après 2 ans je n'arrive pas à remonter. Sois toujours entouré de gens qui t'aiment ne sois jamais seul, et quand tu as vraiment trop mal ...repense aux merveilleux moments que vous avez vécu tout les deux. Car ces souvenirs personne ne pourra jamais te les enlever. Je voulais t'écrire à la maison mais ma tante Yolande ne savait pas ton adresse...alors je t'écris ces quelques mots pour te dire que tu n'es pas seul, malgré qu'ont s'est vu qu'une seule fois chez moi. Si tu veux parler je serais toujours là pour toi. Je n'ai pas besoin de te dire qu’Evelyne étais formidable et j'ai beaucoup de chagrin. Cher Philippe je t'embrasse très fort et surtout courage sois fort pour elle. A bientôt j'espère...MURIEL LONGO