De la part d'un passionné belge de slot-racing, mes plus sincères condoléances.

Oui, moi aussi j'ai eu la chance de croiser le "géant suisse". En quelques heures passées autour d'un circuit de slot ardéchois, il m'a apporté toute la chaleur, la convivialité, recherchées dans la pratique de ce loisir. Encore merci l'Ami. Mes pensées vont bien sûr à Anne-Sophie, Martin, Benjamin et Isabelle.

Bonjour Anne-Sophie, Martin et Benjamin, Tous les membres et sympathisants des Circuits des Plantés se joignent à moi pour vous témoigner tout notre soutien dans ces moments. Nous retiendrons de votre Papa, un homme passionné. Par le circuit routier, les 24 heures du Mans, son pays et plein d’autres choses encore. Depuis octobre 2006 où nous avions fait connaissance lors d’une course de slot chez Pascal à Privas ; il avait participé à toutes les courses que nous avions organisées. A chaque fois, accompagné de ses fondus comme il vous appelait, il distillait sa bonne humeur et nous donnait également son savoir sur la course automobile. Tel pilote à gagné la Targa Florio en 1957, tel autre le Mans, il était inépuisable. Bref, les courses de slot à L’Osier ou ailleurs ne seront jamais plus pareilles sans lui. Frido, nous t'oublierons jamais. Amitiés. Philibert - Les Circuits des Plantés.

Fridolin, tu marquais toujours nos rencontres de ta passion contagieuse pour la course automobile et son histoire. Avec toi, accompagné de Martin, Benjamin, puis Anne-Sophie, les courses gagnaient en enthousiasme et simplicité. Sans oublier les discussions et rires autour de la mécanique à échelle réduite. Anne-Sophie, Martin et Benjamin, je m'associe avec beaucoup d'émotion à votre profonde douleur. Je ne regarderai plus les Panoz sans une pensée particulière... Thierry

beaucoup de tristesse, sincères condoléances à toute la famille

L'ayant rencontrer l'année dernière au 24H du mans au stand VPC, nous avions fait connaissance autour d'une discussion, sympathique et gentils nous avons partager un café. Je m'associe a votre douleur et votre chagrin, nous ne l'oublierons pas, mes sincères condoléances. Mr cochon Michel

De la part de Christian et thiou de NICE nous envoyons tout notre soutien dans ce moment douloureux et tu seras un grand manque dans notre grande famille de sloteur mes bien sincères condoléance

J'ai passé de magnifique moment avec Fridolin durant la période du breitling Orbiter, nous avons beaucoup rit et appris énormément de chose avec toi. Comme tu me le disais " tout ce qui décolle de 30 cm du sol ça m'intéresse", sans oublier aussi les bons moment passé avec ta collaboration sur le plateau d'ICI TV. Au nom des anciens d'ICI TV je tiens à formuler ma grande tristesse concernant le départ de Fridolin et je transmets toute ma sympathie pour la famille et les proches.

«Tu dois monter faire un sujet sur le Festival des Ballons? Appelle Fridolin, il te fera un petit topo.» «Allô, Fridolin? Y’a eu un incendie dans une ferme abritant des bus de collection. Tu sais où c’est?» Je n’étais pas arrivée à la rédaction d’Aigle que j’avais compris. Celui qui connaissait les moindres détails du Chablais et qui mettait tout le monde d’accord quand il s’agissait de parler aéronautique et mécanique, c’était toi cher Fridolin. Alors avant de te voir, je t’ai beaucoup entendu. Depuis mon arrivée à Lausanne, au mois d’août, je te croisais tous les jours. Chaque matin je te voyais remonter de la cafét', une bouteille de Granini à la main. Tu la lançais en l’air d’un geste sûr, et la rattrapais après lui avoir fait effectuer un salto arrière. Un geste quotidien qui, à chaque fois, me faisait sourire. Dernièrement, durant un repas de midi, tu avais disserté sur les trains électriques avec une telle assurance… J’avais beau connaître tes passions, j’étais à chaque fois impressionnée par ton savoir encyclopédique. Aujourd’hui, je pense à ta fille, avec laquelle tu nous avais raconté faire des compétitions de voiture électrique, mais également à ton épouse et à tes fils. Je n’aurai pas la chance de profiter davantage de ton savoir, et je le regrette profondément. Mais cette peine est bien moindre par rapport à celle que doit être la perte d’un mari et d’un père. Isabelle, Anne-Sophie, Martin et Benjamin, je vous présente mes plus sincères condoléances. Mes pensées vous accompagnent.

Cher Frido, de toi je garderai l'image d'un personnage hors-norme. A commencer par ton physique de colosse et ton coeur du même tonneau. Sans compter cette voix inimitable (et pourtant j'ai souvent essayé!). Hors-norme, tu l'étais tout autant par tes connaissances dans tous les domaines et celui de la technique en particulier. Un puits de science qui m'avait amené à te surnommer le Professeur Tournesol en taille XXL. Quand on sait qu'Hergé s'inspira d'Auguste Piccard pour façonner son personnage, la transition est toute faite avec ce monde des ballons que tu chérissais tant, au Pays-d'Enhaut notamment. Toi seul pouvais décrire un brûleur, un modèle de mongtolfière ou l'influence du vent de manière aussi naturelle que passionnée alors que j'étais perdu après une phrase. Beaucoup d'entre nous journalistes se souviennent aussi de ta façon de chercher l'inspiration en plaisantant avec tes collègues, à mille lieux de ton sujet du jour, pour enfin de mettre à travailler quand nous étions sur le point de quitter le bureau. Cette fois, la lumière s'est éteinte définitivement, beaucoup trop abruptement. Mes pensées vont à ta famille également. Même si nos parcours avaient rendu peu fréquentes nos rencontres dernièrement, tu me manques déjà.

Mon cher Frido, journaliste tout terrain, tu parlais avec la même ferveur d'un brûleur de montgolfière, de tes nuits blanches dans les tribunes des 24heures du Mans ou d'une querelle de village. Je garde de toi le souvenir d'un localier exemplaire, opiniâtre, passionné. Mais je garde et garderai surtout en mémoire l'image d'un homme aux qualités de coeur immenses. Modeste, drôle, cultivé, jamais avare d'un bon mot ou d'un sourire: c'était un réel bonheur de travailler avec toi, sous les couleurs de "La Presse" ou celles de "24heures". Ton départ me bouleverse, cher Frido. En pensées et en prières avec tous ceux qui t'ont aimé.

"Dis donc, l'accident sur l'A9, à Saint-Triphon, vous êtes au courant? Tu peux nous faire une dépêche pour le site?" Cher Frido, tu avais beau t'être exilé à Lausanne pour tenter l'aventure internet, tu n'oubliais jamais de garder un oeil ouvert sur ton cher Chablais. Tu n'oubliais jamais, avec ton accent inimitable, d'alerter tes collègues du bureau régional de 24 heures à Aigle. Mais nous te devons bien plus que cela. Tu as su nous transmettre l'amour de ce métier, malgré ses difficultés et ses aléas. Bien sûr, tu nous "gonflais" parfois avec tes sacrés ballons... Mais tu as partagé avec nous une culture générale hors du commun et un art de la narration - le sourire en coin - qui me laissait pantois. Sans oublier ton humour, d'une finesse déjà légendaire. Merci pour toutes ces années, camarade. Merci pour ta générosité. Repose en paix. Toi qui as toujours été d'une disponibilité sans faille pour tes proches, veille sur eux, désormais. Mes pensées émues vont à ta femme et à tes enfants.

Chère famille, je garderai aussi un grand souvenir laissé par ce grand homme. Fridolin était une des étincelles qui m'a allumé la passion de l'aviation et avec qui j'ai passé de grands moments discussions et partages. Toute ma sympathie va à sa famille.

Frido, on va pas faire dans le mélo, ce n'était notre truc ni à l'un, ni à l'autre. N'empêche! J'ai bien envie qu'il soit dit une fois pour toute que tu as été bien plus que mon maître de stage. Tu as été un deuxième papa. De mon paternel, j'ai appris la vie naturellement, en le regardant faire et en plaisantant de tout. De toi j'ai appris mon métier de la même manière. En te regardant faire et en plaisantant de tout. Ce que tu m'as laissé en héritage est incommensurable. La curiosité, l'enthousiasme, les rencontres, les échanges, le typomètre, le terrain, les boues d'épuration et celles des festivals bien arrosés (au propre comme au figuré), les flics à appeler, les pompiers à suivre, les journées trop calmes et leur phrase culte: « ça ne présage rien de bon! ». Coups de fils, coups de gueule, coups de cafard, coups de soleil, coups de mou, coups de blanc on a tout partagé. Toi qui avais en horreur l'académique et le formel c'est sans le faire exprès dans la spontanéité, la complicité et l'humour que tu m'as inoculé le virus d'un certain journalisme. Si je déploie aujourd'hui, ne serait-ce qu'un quart de cadratin de ce que tu m'as enseigné c'est beaucoup, mais encore trop peu. Et si je t'avais témoigné de ton vivant ne serait-ce qu'un centième de l'affection que je te portais, ce serait déjà beaucoup. Mais encore trop peu. Que cette négligence soit réparée, cher papa de journalisme. Merci pour tout ce que tu as été. L'autre F.W.

Nous nous sommes revu au dernier Slot Days avec mon fils Benji qui se joint à moi pour vous faire part de notre grande tristesse, même si nous ne sommes vu que très peu. Nous vous transmettons toute notre amitié et nos condoléances.

Frido, que c'était bon de deviser avec toi. De commerce toujours agréable, tu savais être courtois et à l'écoute. Un bon gars, tu étais. Repose en paix.

Cher Fridolin, j'ai souvent pensé à toi ces dernières années, me souvenant du bon temps que nous avions passé à l'occasion de notre passion commune, l'aviation... tu es venu voler avec moi, tu avais confiance... maintenant tu voles seul, beaucoup plus haut, beaucoup plus loin... à toute ta famille je présente mes sincères condoléances, et de toi, je garderai un souvenir ému et lumineux... jacob Gerhard, président fondateur d'Espace Passion, et ancien directeur de l'aéroport de Sion

une bien désagréable surprise en ce lundi. Fridolin ne laisse que de bons souvenirs à tous ceux qui l'ont connu, de Bex (à l'aérodrome) à Lausanne. Mes amitiés à sa famille

Tu étais un vrai ami. Nous avons passé des moments inoubliables, dans la Loire, tu as piloté la montgolfière "petit cheval". Tes connaissances en aviation nous ont toujours fascinés. Je te dis merci pour tout ce que tu as donné dans le ballon, malheureusement beaucoup de personnes n'ont pas accepter ce que tu donnais généreusement. Tu laisses un grand vide dans nos cœur. Je ne t'oublierai pas. Florent

Je suis très très secoué par ce que j'ai lu dans le 24H. J'ai bien connu Mr Wichser lorsqu'il était rédacteur à l'Est Vaudois; mais par la suite nous nous sommes moins vus car il était sur Lausanne. J'en garderai un souvenir très respectueux!!! C'était un homme passionné par son métier et toujours à l'écoute de toute expression culturelle venant de tous les milieux. Je transmets à sa famille ainsi qu'à tous ses collègues toute ma sympathie et mes sincères condoléances. Vincent Barbone - Monthey

bonjour,anne-sophie, benjamin,martin nous venon par ce petit message vous faire par de nos condoléances nous ne lavon pas connu depuis longtemps mais il nous faisait bien rire quand on le voiyer au slot days. ce qui et sur c'est qu'il nous manquera nous somme avec vous pour se moment tres douloureux nous espérons que nous nous rêveront ludivine et Gregory du slot days.

Je garderai le souvenir d'un homme bon, attachant et professionnel. Mes pensées à la famille. Frédéric, un collègue