Triste nouvelle ce matin en ouvrant le journal, un homme de grand cœur nous a quitté.
Gaston, au nom de mon grand-père César Goy, je te remercie pour les corbeilles de bois que tu lui as descendues du galetas alors qu’il avait de la peine à marcher. C’est vrai que c’était encore l’époque où le facteur avait et prenait le temps d’aider ou tout simplement de discuter avec les personnes seules.
A toute sa famille toutes mes condoléances.
Von Gino Crescioli