Même si laisser les siens à 93 ans peut sembler normal, rien ne l’est, lorsqu’une maman s’en va, c’est toujours une immense perte, un vide. La mort c’est la vie, on n’y peut rien, la roue tourne et elle n’est pas prête de s’arrêter. A toute la famille de Germaine, je tiens à présenter mes plus sincères condoléances. Une pensée toute particulière à mon « pote » Jean-Louis avec lequel j’ai fait un bout de chemin dans la « Grande Boîte » et passé tant d’heures sur les bancs de l’école du soir de Lausanne.
Von Gino Crescioli