Voila une bien triste nouvelle que je viens d'apprendre ce matin, les trois coups du brigadier raisonnent encore dans ma tête, et le souvenir de ton visage à la fin de chaque représentations... Tu n’étais pas seulement un metteur en scène d’exception, pas seulement un grand professeur d'histoire, tu étais aussi celui qui nous aidais a relativiser quand tout aller mal, celui qui savait comment être aussi rassurant qu'un père avec la complicité d'un ami... Celui qui m'as appris qu'il n'y avait pas qu'un seule chemin pour devenir un homme et qu'il fallait se battre pour ce que je pensais juste! La personne que je suis aujourd'hui je la dois au Rosey mais aussi en grande partis a toi, tu es le premier souvenir qui me vient en pensant a ces années formidable. Alors voila, le rideau se baisse, je me lève et je t’applaudis, et je te remercie, MERCI!