Bien en pensée avec toi cher Claude-Alain car maintenant c’est nous qui sommes devant, comme disait mon beau-père. Et de plus, plus personne pour répondre aux questions que nous avions oublié de poser.
Bon courage pour ce passage chargé en émotions et toutes nos amitiés.
Marlyse et Bernard.
Von Matthey-Doret