Chers tous, chère famille Ding,
Quand Eliott et Carline m'ont parlé du départ de Marianne, je n'y ai pas cru... j'ai oublié... et c'est maintenant dans la tranquillité de ma retraite italienne, que je reprend contact avec cette bien triste nouvelle.
Alors je fais mon deuil un peu en retard... pour célébrer ces petits moments de partage, toujours fort en émotion avec votre maman.
Je la garde dans mon cœur, le sien était largement assez grand pour y mettre tout le monde.
Bis bald,
Geneviève
Preti
Von Geneviève Preti