A-Dieu, chère Marie-Juliane, tu es partie discrètement comme tu as vécu, en laissant derrière toi famille et amis. Puisses-tu enfin trouver la paix après toutes les souffrances qui furent les tiennes! Je t’entends jouer le Concerto pour piano de Schumann, tu l’interprétais si bien, est-ce un signe que tu n’es pas si loin? Mes condoléances émues à toi, cher Alain, et à tes filles. Affectueusement. Lucette
Von Volken-Zufferey