Chère Sophie,
Cher Monsieur Monnoyeur,
Je suis horriblement bouleversée par cette nouvelle. J'avais de si bons souvenirs de nos balades à cheval et des discussions avec mon père sur la peinture. Je partage avec mon frère Alexandre et mon mari Antoine votre peine et nous vous présentons nos plus sincères condoléances. Margaret
Von Jaques