Chères Daisy, Djamila et famille,
Je viens d'apprendre avec tristesse le décès de votre mari, papa, beau-père et grand-père et suis de tout coeur avec vous.
Comme vous le dites si bien, il ne souffrira plus.
C'est ce que je me suis dit aussi au décès de mon papa en mai dernier.
Le temps des adieux est difficile et la route pour l'acceptation est longue, mais je suis sûre que vous y arriverez. Il faut laisser le temps au temps.
Je vous embrasse sincèrement.
Anne-Laure et famille
Von Anne-Laure Bonny