Chère famille. J'ai croisé Denis au tennis, par hasard. À ma question classique «salut, comment vas-tu?» il me répond «mal, je viens de perdre mon fils». Nous nous sommes regardés dans les yeux, pleins d'émotions vives je ne lui ai rien dit car il il n'y avait rien à dire... puis il m'a dit «je n'oublierai jamais». Nous nous sommes regardés nos yeux embués avant de nous souhaiter mutuellement une «bonne chance et bonne partie». «Merci pareil» lui ai-je répondu...
Courage Denis, courage Ă toute ta famille et Ă bientĂ´t sur les courts
Von Nicolas Bezencon