Cher Werner, c’est à toi que j’ai envie d’envoyer un mot, à toi que j’ai envie de dire combien tu me manques déjà et combien de souvenirs de ma petite enfance me reviennent à l’esprit. Repose en paix cher frangin, je suis sûre que les portes du Paradis te sont grandes ouvertes et que tous tes copains qui y sont déjà te feront le plus merveilleux accueil du monde. Dans mon cœur tu es et resteras toujours. Ta «tite» sœur Claudine
Von Claudine Haymoz