Cher Albert, Je viens tout à l'heure de porter en terre les cendres de ton presque homonyme, Gaston-Armand, qui lui a choisi de tirer sa révérence le 7 du mois dernier et que tu connaissais par moi. Et par acquit de conscience, j'apprends que toi aussi, désormais, tu vois de haut la dérision dans laquelle nous nous agitons ici bas. Dans cette autre dimension où te voilà rendu, tu as rejoint Biche; Michèle; tes copains ("Spozz"; les deux Jean; Cécile et tous les autres "guiguignopèdistes") – tu vois... ma mémoire est encore assez vive – et tes complices parisiens Denis et Marie-Thérèse... et tant d'autres qui t'appréciaient. Et zut! J'ai loupé un dernier rendez-vous avec toi. Je l'ai sur la conscience. Dans ce nouvel état, tu sais la vérité. Alors toute explication plus poussée est superflue. Je n'ai donc plus qu'à présenter mes condoléances à Janik et à Odette... et à la chère et fidèle Jacqueline, aussi... À bientôt... Tout cela est absurde. Maintenant je vais devoir faire part de ton absence à mon "Iris Bonsens"... Et je me demande aussi si tu sais ce que sont devenus Peticachalo et sa Marie... XXX Max l'Impertinent PS Désolé; je n'ai pas sélectionné « choisir un message »... J'aurais dû?
