A mon mari bien-aimé. Tu es parti trop tôt. Mais tu étais fatigué et tu sentais ta fin proche. Je resterai patiemment sur la terre en essayant de ne pas trop te décevoir. Et le jour où nous nous retrouverons, là-haut, ce sera la plus grande fête jamais imaginée. Je t'aime et serai toujours en pensée avec toi. Marie-José

En réponse à M. Savary. Bonjour et merci pour votre message de soutien. Il s'agit bien d'Aldo que vous avez connu et les années défilent rapidement. Bien cordialement.

S'il s'agit bien d'Aldo DAGOSTINO, avec qui j'ai travaillé à la Régie KRAMER à Genève, dans les années 60 à 65, je présente à sa Famille toutes mes condoléances, car il est toujours resté présent dans mon coeur, et je me souviens de lui comme si c'était hier.