Chère Marthe,
j'avais rencontré ton père à plusieurs reprises après avoir fini l'école de Chailly. En 1973 alors que je faisais mon école de recrue, il se promenait le long du Rhône en Valais, moi j'étais en militaire, C'avait été un plaisir de le retrouver.
Puis plus tard, à chaque Schubertiade je le croisais, nous avions le même penchant pour la musique de chambre.
Je te présente, chère Marthe, mes sincères condoléances. Une fois la vie nous donnera peut-être l'occasion de nous revoir, qui sait?
avec mes amitiés.
Vincent
De la part de Vincent Demierre