Cher Claude,
C'est le cœur grave que je t'adresse, ainsi qu'à ta famille, mes condoléances. Je sais d'expérience la peine que l'on éprouve lorsque notre maman décède, ce profond chagrin. Je sais aussi que, heureusement, la tendresse du souvenir remplace peu à peu notre désarroi, rapportant -ainsi qu'elle-même le souhaite assurément- la lumière et la joie de vivre dans nos cœurs.
Avec mes amitiés
Goulag
De la part de Pierre-Alain Golaz