Christine, c'était d'abord son rire, son regard malicieux et toute sa chaleur humaine.
Je me souviens des moments professionnels (expertise aux examens de français) et amicaux (notre thalasso à Pornic) qui m'ont fait particulièrement apprécier sa personnalité.
Je l'ai retrouvée, ces dernières semaines à Rive-Neuve, marquée par la maladie et l'épreuve qu'elle traversait.
Je souhaite dire à sa famille ma profonde émotion mais aussi que je regrette qu'elle ait choisi de partir sans nous permettre de l'accompagner une dernière fois.
De la part de Jacqueline Pellet