Cher Claude quelle tristesse d'apprendre ce départ si rapide. J'ai eu énormément de plaisir à apprendre mon métier avec vous, j'ai été votre première assistante et j'en étais fière. Vous m'avez tout appris, m'avez soutenue lorsque j'avais perdu mon père, vous êtes un homme exceptionnel que je suis contente d'avoir rencontré. Nous formions une belle équipe. Je me rappelle lorsque le cabinet avait brûlé, notre implication personnelle pour ménager le docteur Thomas Rutz et remettre en état avant son retour. Reposez en paix

C’est comme ami, patient et confrère que j’ai appris à connaître Claude Girard, un homme délicieux par sa finesse, sa générosité et son humanité. On ne se voyait pas souvent mais chaque fois qu’on se retrouvait c’était avec la même chaleur, le même plaisir. J’ai quitté Genève pendant plusieurs années, raison pour laquelle nous avions perdu un peu le contact. De retour depuis quelques mois, j’ai récemment appelé Claude et j’ai appris de façon brutale sa souffrance et sa détermination. J’ai eu la chance de partager une soirée avec lui 48 heures avant sa décision si digne et courageuse. Nous avons savouré comme d’habitude un splendide repas dans la bonne humeur et la complicité. Il était sympathique, drôle et enthousiaste. J’ai eu au fond de moi le petit espoir que peut-être sa décision n’était pas définitive. Hélas, elle était malheureusement pour Claude bien consolidée. Avec une immense émotion, je partage cette profonde tristesse avec vous. Leonidas Politoff

Avec surprise et grande tristesse, j'apprends que Claude nous a quittés. Il a fait partie de mon parcours professionnel. J'ai beaucoup appris avec lui dans la qualité du travail et la rigueur. Recevez mes sentiments les plus sincères.

Avec tristesse j'ai appris le départ de Claude. Je le savais malade et déterminé à ne pas finir péniblement, mais l'échéance est arrivée plus vite que je ne le pensais. Nous passions au moins deux fois l'an une soirée à bien manger et à bien boire, tout en partageant nos vécus de vie de dentiste, de père et de grand-père. Chaque fois avec émotion on se séparait et je le regardais traverser la gare pour aller prendre son bus. Ces rencontres vont me manquer, elles étaient une tradition, un bilan, un repère dans ma vie. Je suis de tout coeur avec vous et vous adresse mon amitié. Denis Honegger