Dag, je t’ai connu très jeune, tu étais si spécial et attirant pour une jeune fille comme moi...je garde de toi l’image d’un homme doux, fier, un peu secret, je regrette ce café que nous devions boire ensemble bientôt au cas où après tant d’années sans se voir, je suis triste et j’envoie à tous ceux qui t’ont aimé toute ma tendresse et compassion.
De la part de Arlette Soares Duport