Pierrot, cher ami, je tiens à t'exprimer, ainsi qu'à tes proches, particulièrement à Jean-Michel et à Béatrice, ma vive sympathie en ces jours d'une séparation physique qui, hélas, a été précédée d'une séparation intellectuelle. J'ai admiré la façon dont tu as géré cette pénible situation. Mon amitié t'entoure.
De la part de Gilbert Hermann