Salut mon Ami,
Alors tu es vraiment parti…. si rapidement…
Je n’ai plus osé chercher cette annonce… ton silence annonçait rien de bon.
Tu m’avais pourtant prévenue, mais je ne voulais pas y croire…
si près de tes « grandes vacances » tant attendues et si mérités…
On se retrouvera un jour, en espérant que là-haut il y ait aussi de sympathiques petits restos. R.I.P. et mes sincères condoléances à la famille.
Christine
De la part de Christine Müller