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Tribune de Genève
27 mars 2010
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Tribune de Genève
30 mars 2010
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Dernière condoléances

  • Il y a plus de 4 ans

    En surfant sur internet, je souhaitais retrouver cette amie que j'ai connue lors de ma première année en France, à Montelimar. Et voilà une nouvelle vraiment inattendue et très triste ! Edwige était très gentille, intelligente et belle. Elle m'avait fait l'honneur de m'inviter à son anniversaire chez ses parents. Après le baccalauréat, elle était allée à Montpellier où résidait sa grande mère y effectuer ses études de médecine. Je savais qu'elle était devenue médecin puisqu'on a échangé du courrier pendant quelques années. Je suis vraiment très triste d'apprendre qu'Edwige n'est plus. Toutes mes pensées et mes condoléances à ses parents, sa fille, ses amis Henri ( un ami de Côte dIvoire)

    De la part de Henri Ayekpa
  • Il y a plus de 4 ans

    Au début des années 80, j’étais professeur de lettres au Collège Marcel Chamontin, au Teil, en Ardèche. C’est la que j’ai eu, en sixième, une de ces élèves que chaque enseignant ne rencontre qu’une ou deux fois dans sa carrière. Une enfant lumineuse, aussi intelligente que belle. Aragon venait de mourir. La petite fille pensa qu’il serait intéressant de faire un exposé sur le poète. Elle présenta à la classe subjuguée un exposé magnifique, même si le contenu passa au-dessus de la tête de la plupart de ses camarades ! Les dons exceptionnels de cette élève nous amenèrent à proposer son passage dans la classe supérieure, dès le mois de mars. Cette initiative aurait pu engendrer des jalousies. Il n’en fut rien. Edwige , tous ses camarades l’admiraient, mais aussi ils l’aimaient, sans réserves. Très tôt, elle avait décidé de devenir médecin. Nous savions que ce ne serait qu’une formalité. Les années ont passé. Avec les années, viennent les souvenirs, les souvenirs de ces quelques enfants qui nous ont marqués comme autant de joyaux dans une carrière d’enseignant. Alors, on cherche sur internet : que sont-ils devenus ? Et l’on découvre l’impensable qui bouleverse. Je pense à sa famille, à sa petite fille, à ses amis, privés de sa lumière, et je pleure avec eux. Il nous reste le bonheur de l’avoir connue.

    De la part de Monique Pallatier
  • Il y a plus de 4 ans

    C'est avec une profonde tristesse que j'ai pris connaissance du décès d'Edwige Faydi. Issues de la même génération, nous nous sommes côtoyées au collège Marcel Chamontin, en Ardèche, ainsi qu'au lycée Alain Borne à Montélimar. Tous ceux qui l'ont connue à cette époque ou même plus tard savent à quel point son intelligence était brillante et n'avait pour concurrence que sa grande gentillesse, celle-ci expliquant celle-là. Aucun mot ni aucune anecdote ne saurait atténuer la douleur que cause le départ d'Edwige, que ce soit à sa famille ou à ses proches collaborateurs. Je mesure l'ampleur de leur chagrin à l'aune de ma propre peine. Lorsque je visionne les photographies mises en ligne, la représentant ces dernières années et montrant aussi Noémie, sa petite fille, une chose me remplit cependant d'espoir. Pour tous ceux ayant connu Edwige durant son enfance ou son adolescence, sa gentillesse était légendaire. Elle savait ne jamais se départir de son sourire, ce sourire qui illustrait si bien sa profonde générosité et qu'elle a su conserver en grandissant. Edwige n'est plus. Pourtant de toute évidence, son sourire, image de sa grandeur intérieure est toujours là.Lorsque je regarde des photographies de sa fille et que je retrouve ce même sourire, je comprends que l'image d'Edwige s'en est allée mais que son âme, à travers son enfant, elle, est restée. Rien ne saurait nous ramener cette mère, cette fille, cette soeur, cette amie ou ce médecin qui nous à si tragiquement été enlevé. Pour ma part, je reste cependant convaincue que tant que Noémie sera parmi nous, sa mère ne sera jamais loin. Jamais loin de sa fille, jamais loin de nous. Hugo écrivait : "Ne dites pas : mourir. Dites : naître. Croyez". Croyons comme Edwige croyait. Qu'une profonde et sincère pensée, amicale et pleine chaleur humaine, accompagne ses proches et plus encore sa petite fille. Vous tous qui l'avez profondément aimée, veuillez accepter mes sincères condoléances.

    De la part de Alexandra Bieglik
  • Il y a plus de 4 ans

    C'est avec beaucoup de peine que j'ai appris le décés d'Edwige. Une très grande pensée pour ses proches et en particulier sa petite Noémie. Nous étions dans la même école en Ardèche et j'ai le souvenir d'une fille intelligente et belle qui réussissait tout ce qu'elle entreprenait. Sincères condoléances

    De la part de Nathalie Vincent