Tardivement nous apprenons avec tristesse la peine que tu subis, Pierrette. C'est un moment très difficile à passer. Georges s'est enallé que trop vite. Nos contactes bien que rares étaient très amicals et chaleureux. Nous ne l'oublierons pas de si vite.
Pierrette, nous te serrons dans nos bras. Yvette et Gérard
De la part de Yvette et Gérard Stäubli