Une page de mon enfance se tourne, les images se bousculent dans ma tête; le magasin de tabacs/journaux, ses propriétaires toujours souriants et aimables, les bergers allemands que Monsieur Bezencon aimait tant. Mais voilà, la vie va ainsi et une seule chose me fait sourire, c'est que maintenant, mari, femme et chiens tant aimés se sont retrouvés au paradis. Sincères condoléances à toute la famille.
De la part de une versoisienne