Cher Jean-François, ton départ que je viens d’apprendre me laisse sans paroles. Je n’oublierai pas ta grande gentillesse et ton sourire inébranlable, même le jour où, par accident, j’ai fracassé ta belle moto sur le macadam, vous privant, ta compagne et toi, de vacances bien méritées.
À ta compagne et à ta maman, j’adresse mes sincères condoléances.
Michèle de St-Roch
De la part de Michèle Leopizzi