Chère Marie-Laure. J'ai beaucoup de peine à réaliser la disparition de ta soeur. Certes, on ne se voyait pas souvent, mais on se connaissait depuis si longtemps. On partageait tellement de souvenirs des années 60-70. Il semble toujours qu'il n'y aura pas de fin, on a de la peine à croire que tout a une fin. Personne ne sait si il y a de l'au-delà avec une certaine énergie qui demeure, que ce soit que du bonheur. Je te présente, ainsi qu'à ta soeur mes sincères condoléances. Geneviève
De la part de Geneviève De Sepibus