Marcel, aujourd’hui je suis en colère contre cette silhouette noire qui frappe à tort et à travers, touchant les personnes que l’on aime. Cette «chose» s’est abattue sur toi et t’a ôté à l’amour de ta famille que tu aimais tant et à l’amitié de tes amis. Nos assemblées vont continuer, certes, mais sans toi et nous allons devoir vivre avec nos souvenirs. Toi, le monument de gentillesse aux yeux rieurs, affichant toujours un sourire barrant le visage. Toi qui avais toujours un mot gentil et des histoires drôles à nous tirer les larmes.
Le bout de table au fond de la salle va être bien triste et vide sans toi. Tu as quitté cette terre, mais en levant les yeux et tendant nos oreilles, nous devinerons aisément que tu as repris du service là-haut avec les anges et retrouvé tous les collègues partis avant toi. A vous, sa famille, je ne sais pas quels mots vous dire pour apaiser votre peine, mais je vous assure de mes plus sincères condoléances.
De la part de Rose-marie Juget