Chère Madame, c'est avec beaucoup d'émotion que j'ai appris dans Le Devoir (de Montréal) le décès de mon excellent collègue. J'ai eu mon bureau à quelques portes du sien. Nous échangions souvent jusqu'à ce qu'il prenne sa retraite. Un peu forcée à vrai dire à cause de raisons de santé qui l'avaient beaucoup diminué. J'en ai été à l'époque très choqué. Aujourd'hui, je suis grandement attristé.
Mes condoléances les plus sincères.
De la part de Marc Bourdeau