Nous fûmes ensemble au Collège classique cantonal à Lausanne. Martial était un camarade épatant et son prénom m'intriguait. Mon frère Pierre, récemment disparu, l'avait revu et je projetais aussi de renouer avec lui... Ainsi va la vie! On ne devrait jamais attendre quand le désir des retrouvailles se fait pressant. A sa famille, à ses proches, va ma plus vive sympathie.
De la part de Jacques Dominique Rouiller