Chère Simone, je viens d'apprendre l'horrible nouvelle. Que c'est injuste de mourir à cet âge. La vie est trop cruelle pour toi, toi qui, si gentiment, gardais mon bébé (je ne l'oublierai jamais), pendant que tu attendais Patrick. C'est révoltant.
Pauvre Simone. Ma santé ne me permet pas d'être présente jeudi, mais mes pensées sont près de toi et de vous tous .
Josiane Hausser
De la part de Josiane Hausser