C'est toujours une déchirure que de voir s'en aller un camarade de collège. J'aimais Raymond pour son humour souvent corrosif - et parfois mal compris de certains! - et me réjouissait de le revoir, en juin prochain, pour les
60 ans de la matu.
La rencontre n'aura pas lieu. Je le regrette infiniment,
Adieu camarade.
Michel Jörimann
De la part de Michel Jörimann