A toi, que j'ai toujours admiré pour ta sagesse, tu nous a toujours aidé même dans les moments difficiles, tu as toujours été là, et je t'entends encore me dire salut ma petite Belle-soeur comment vas-tu, oui tu faisais toujours attention à nous, et ta famille est merveilleuse ce qui nous a permis à Serge et à moi de faire face à bien des problèmes. Là vers le Seigneur je sais que l'on se retrouvera, tu resteras à tout jamais dans notre coeur, même si ton absence est difficile à supporter. Nous te chérirons jusqu'à ce que l'on se retouve . Que ton repos soit doux.

Mon petit papa chéri, Je t'aime, tu me manques tellement ; ma peine est trop grande pour trouver des mots ; je suis si fière d'être ta fille et tous les jours tu es là avec moi dans mon coeur et je ferai toujours en sorte que tu sois fier de moi. Je suis sûr que maintenant tu vas faire du bien là-haut à tout le monde et que tu dois être bien. Je sais que l'on se reverra et que tu seras là pour venir me chercher. Repose en paix mon petit papa je t'aime. Caroline

« Et moi, je te dis (Jésus s'adresse à l'apôtre Pierre) que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. Je te donnerai les clefs du royaume des cieux : ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux. » Des paroles que tu m'as souvent répétées, aujourd'hui malheureusement tu es parti alors que la construction de ma vie, mon église, est en cours. Cette église qui représentera ma vie je la construirai tout en suivant les règles, les préceptes que toi et toute notre famille m'as appris. Comme dit dans ce passage mon église restera liée à la tienne par le passé que nous avons vécu,et un lien entre la terre et les cieux restera toujours entre nous, et je sais que tu verras depuis les cieux la construction de mon église. Tu restera dans mon coeur à jamais. Ton petit-fils Pierre.

Nous n'irons plus jamais cueillir les champignons Dans les fourrés touffus des sous-bois odorants Nous n'irons plus conter des histoires en arpentant les forêts Nous arrêtant, fourbus, tout en haut du versant. Nous ne parlerons plus de tes anciens souvenirs de jeunesse, De tes espoirs d'une Grande famille Qui captait mon oreille. Les courbes de la terre Ne retentiront plus de nos rêves muets. Lorsque tu es parti aux rives de Lumière, Le pays de Vaud a pleuré de ne pouvoir te suivre, Et sous le temps de plomb Qui nous sépare encore, Triste condamnation, il va nous falloir vivre. Mais de nos rires clairs, je garde au fond de moi La Flamme qui me dit que nous nous reverrons. Que quand frappe le fer, peut en jaillir la Foi, Et qu'au Pays d'Amour est une autre saison. En mémoire de toi, souvent je cueillerai Aux sentes du passé de tendres champignons. Je reviendrai parler à nos chères forêts Des marches d'autrefois et d’anciennes conversations. Je ne t’oublierai pas. Et quand le jour viendra de m'envoler aussi, Je sais que tu seras fidèle à la rencontre Et que le doux parfum de cette heure bénie M'ouvrira la Lumière auprès de toi papa. Ton fils Christophe

Bien que les fleurs se fanent, meurent et disparaissent, leurs précieux parfums demeurent toujours. Tout comme ces fleurs éclatantes, ceux que nous aimons ne meurent jamais ; ils demeurent avec nous à jamais, et quand la douleur aura disparu, il restera les meilleurs souvenirs.