Winny était un collègue très sympathique, que j'appréciais beaucoup. Nous avions beaucoup de goûts communs: les petits plats sympa, le bon jazz. Je savais qu'il était malade depuis fort longtemps, et je n'ai jamais osé téléphoner; je suis un peu honteux.
Mes très sincères condoléances.
De la part de Jean-Pierre Berthet