Il y a plus de 4 ans
Très triste d'apprendre la nouvelle du départ d'Yves, que j'ai côtoyé avec joie au milieu des années 80, alors que je livrais mes premiers papiers à la locale de 24 Heures, n'ayant même pas commencé ma formation de journaliste. Et merci à Lise Bourgeois, qui, dans "son" journal a commencé sa carrière en même temps que moi, d'avoir rendu hommage à l'homme et à ses convictions, qui l'ont fait quitter la France en pleine guerre d'Algérie, ce qui ne l'a pas empêché bien plus tard de recevoir un poireau! Je suis en pensées et de tout coeur avec vous, sa famille.
De la part de Stéphane Rastello