Cher Jean-Christophe, Je suis la maman de C. Nelson (ton école de la rue St Jacques) et je pense souvent à toi. N’hésite pas à nous faire signe si tu as besoin. Et je serais vraiment très heureuse de savoir comment va la vie... Si tu préfères faire un signe à ton copain, voici son adresse [email protected] Bises 01 46 33 81 35

C'est avec une grande tristesse que je viens d'apprendre le décès de Christie, amie qui a croisé mon chemin et pour qui j'avais une extrême sympathie. Une grande dame nous a quitté, la vie ne l'a pas épargné mais malgré tout elle restera à jamais une grande Dame. Tu as rejoint Jean, homme que tu vénérais et dont tu avais le plus grand respect, mais malheureusement tu laisses derrière toi ton fils que tu aimais tant. Repose en paix très chère Christie et soit enfin heureuse.

Pour Jean-Christophe: l'humour de votre papa me manque. Je ne connaissais pas votre maman mais j'ai découvert qu'elle avait écrit un livre, livre que je vais m'empresser de dévorer. J'espère que vous allez bien. Je vous souhaite tout le bonheur du monde. Bises

Pour Jean-Christophe: moi j'avais beaucoup d'admiration pour votre papa, un grand cinéaste et un grand monsieur. Je ne connaissais pas l'histoire de votre maman, qui avait l'air si humaine et si jolie. Je découvre avec effarement tous vos malheurs et je vous souhaite toute la force nécessaire: pour prendre de vos deux parents ce qu'ils avaient de généreux, et retirer de votre expérience ce douloureuse la force de pouvoir vous défendre peut-être mieux qu'ils n'ont su le faire pour eux-mêmes. Mais essayez de ne pas être amer: tous deux étaient exceptionnels, et vous êtes le seul détenteur de cet héritage humain, artistique. Qu'il vous soit bénéfique et que leur souvenir vous soutienne...

Ma loulette, Tu seras toujours dans mon coeur je t'aime très fort et notre petite tortue sera toujours auprès de toi. Tu me manques terriblement, mais je sais que tu est présente en moi. Ariane Furer

My sorrow cannot express my shock. I just talked to the Countess before her announced departure to Dubai. But the Countess also told me that she had an accident while skiing with her beloved son over the weekend, requesting her to go to the hospital. The Countess' legs already were rather fragile, maybe it was too much of a risk to go to Dubai. I proposed her a business plan for a joint venture in Geneva, but evidently she preferred to go on her own in Dubai to save some taxes. I miss her. If I can do something for her son, kindly get in touch with me. My condolences to everybody concerned. Ralph Kaiser