Chers Anne-Marie, Marlène et Philippe Voilà un nouveau chapitre de la grande histoire du "Village Nègre" qui se clôt. Pour certains, un banal quartier comme il y en a des dizaines; pour nous qui y avons grandi, l'impression d'appartenir à une grande famille. Peut importait la nationalité ou l'âge, tous les prétextes étaient bons pour se retrouver le soir dans la rue. Dans une vie, perdre une maman, c'est sans doute la souffrance affective la plus dure qui puisse nous être infligée. Sachez qu'aujourd'hui, nous sommes en pensées avec vous pour vous aider à surmonter cette épreuve. Avec le temps, le chagrin finit toujours par s'estomper, c'est ce qui nous permet de poursuivre une vie normale, toutefois jamais l'oubli est total. Nous vous présentons nos condoléances et vous témoignons toute notre sympathie. Christiane Falcy et Gino Crescioli