Chère Catherine, chère Viviane, chère Famille, Je suis très triste d'apprendre aujourd'hui dans mon Australie lointaine, le décès de Jean-François. Je vous présente à tous, mes plus chaleureuses condoléances. Est-il nécessaire de dire tout ce que Jean-François et moi avons vécu? La liste depuis 1979 est longue, très colorée, amusante avec des événements de toute nature. Jean-François était d'une intelligence peu commune, un talent d'écrivain remarquable, un don sans limite de la négociation et de la communication, un enthousiasme incroyable, jamais éteint, une voix radiophonique à la Richard Burton. Toujours prêt à plaisanter. Sa vivacité d'esprit se reflétait dans ses yeux toujours en quête ou en alerte. Par sa stature, dans ma famille, on le surnommait SuperMan. D'une main, il soulevait petit Greg jusqu'au plafond. A ma connaissance, il ne s'est jamais fait battre au jeu de la Trivial Pursuit. Il gagnait toujours. Un record. Combien de fois lui ai-je demandé de mettre son talent d'écrivain à exécution? Qui sait, peut-être l'a-t-il fait? C'est avec beaucoup d'émotion, tout comme vous, que je le quitte aujourd'hui. Très cordialement à vous tous. Hubert